Real Madrid-FC Barcelone: Mourinho plus bankable que Guardiola

Jose Mourinho, Real Madrid - @Iconsport

José Mourinho, l’entraineur du Real Madrid est capable de générer plus de revenus que son homologue catalan Pep Guardiola. D’après une enquête menée par Daniel Sà et l’école de Marketing IPAM, l’image, la notoriété et la réputation du technicien portugais fait plus vendre que le coach du FC Barcelone. Cette étude qui repose sur l’indice de la réputation sportive, basée sur les médias, les réseaux sociaux, le palmarès, le droit à l’image, les vêtements, etc… révèle que le Madrilène, avec un total de point de 74, supérieur aux 56 points de Guardiola, vaudrait environ 5 millions d’euros de plus !

José Mourinho est connu dans le monde entier pour ses frasques médiatiques

Ce chiffre s’explique en partie par les nombreuses interventions médiatiques de José Mourinho qui font le buzz à travers la planète football. À l’inverse d’un Pep Guardiola qui préfère ne pas faire de vagues dans ses conférences de presse d’avant ou d’après match. On se rappelle notamment du côté de Madrid, du jour où l’ancien dirigeant de l’Inter Milan avait préféré laisser la parole à son entraineur adjoint avant un match contre le FC Barcelone pour éviter que ses paroles ne soient une nouvelle fois déformées. José Mourinho reste également plus médiatique que l’entraineur catalan car le technicien merengue a évolué dans différents championnats étrangers comme l’Angleterre, l’Italie et le Portugal, et qu’il a laissé à travers ses passages une trace indélébile aux joueurs comme aux journalistes…

José Mourinho perçoit 18M€ par an contre 15M€ pour Pep Guardiola (salaire et droits d’image)

Du côté des salaires, José Mourinho surpasse une nouvelle fois son homologue Pep Guardiola. L’entraineur du Real Madrid perçoit 13 millions d’euros par an et reçoit chaque année environ cinq millions d’euros en droits d’image. Du côté du FC Barcelone, le technicien espagnol gagne chaque année près de 12 millions d’euros et ses droits d’image s’estiment à 3 millions d’euros. Comme quoi, se faire passer pour le méchant ça paye…

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