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TFC : + de 2.000% en un an, la valeur en transfert d’Ibrahim Sangaré

26 novembre 2018 à 11:25 par Thomas

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Ibrahim Sangaré a l’une des plus fortes valorisations de la Ligue 1, en ce mois de novembre 2018. – @ToulouseFC

C’est peut-être lui, le prochain joueur bankable pour le TFC, après Issa Diop parti pour West Ham l’été dernier, contre une indemnité de transfert de 25 millions d’euros. Un record. Ibrahim Sangaré, n’a pas encore atteint ce niveau de valorisation marchande, selon les études d’analyses de Transfermarkt ou du CIES. Mais il approche présentement la dizaine de millions d’euros, à seulement 20 ans et après avoir découvert la Ligue 1, il y a deux ans et demi.

En un an, sa cote en transfert a augmenté de 250 à 2.400% selon les études

D’abord sur la pointe des pieds, en ne disputant qu’une seule rencontre, la première saison. Puis onze la suivante dans l’entre-jeu des Violets. Et déjà huit en 2018-19, dont 5 comme titulaire. Il a quitté la Cote d’Ivoire à peine majeur, pour gagner la France à sa majorité. Il n’a que 20 ans aujourd’hui, une marge de progression forte, sportive et financière. En un an, sa cote marchande a augmenté selon les estimations données, de 250% pour l’Observatoire du football (CIES), à 2.400% pour Transfermarkt.

L’évolution de la valeur en transfert d’Ibrahim Sangaré selon Transfermarkt.

Ibrahim Sangaré est au TFC au bon endroit pour éclore

Soit, de 2,8 à 9,8 millions d’euros estimés entre les mois de novembre 2017 et 2018, du côté du Centre International d’Étude du Sport, en Suisse. Et sur la même période, de 0,4 à 10 millions d’euros, la valorisation donnée par la base de donnée allemande. On ignore ce que le Toulouse Football Club a payé (si d’ailleurs il lui en a coûté quelque chose) à l’AS Denguélé d’Odienné en Côte d’Ivoire, pour recruter son milieu défensif. Mais l’opération semble déjà être gagnante. Il faut qu’elle se confirme car dans le foot, tout peut toujours aller très vite. Une certitude toutefois : il est à Toulouse, chez les Pitchounes, au bon endroit pour éclore.

Son évolution observée du côté de la Suisse et du CIES.


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