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ASSE: Romeyer, des chameaux chargés d’or et… Messi

25 novembre 2011 à 14:44 par Palissarde

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Roland ROMEYER / Bernard CAIAZZO de l'ASSE @Iconsport

Roland Romeyer / Bernard Caïazzo, présidents de l'ASSE @Iconsport

Vendre l’ASSE, ce n’est pas dans les plans de son président du directoire, Roland Romeyer. Sauf « si des chameaux chargés d’or arrivent avec Messi sur le dos à Saint-Etienne plutôt qu’à Paris ». Voici la déclaration choc sorti par le dirigeant, ce vendredi, dans les colonnes du journal L’Equipe. Il ajoute: « Là, on cède de suite notre place avec Bernard (Caiazzo) ». Les deux hommes sont, rappelons-le, coactionnaires du club. Et depuis quelques années maintenant, il se sont mis en tête de rendre leur bébé rentable, ou tout du moins équilibré financièrement, à défaut de faire de l’ASSE le plus grand club du monde.

Romeyer ne vendra pas l’ASSE a des « farfelus »

Pour ce faire, Roland Romeyer protège donc son acquisition de tous ces petits « farfelus qui s’amènent pour avoir leur gueule dans l’organigramme. Aujourd’hui, l’important, c’est d’avoir du fric et des réseaux, pas de parler en l’air. » Sur le thème de la vente du club, Romeyer ajoute: « Personne ne m’a fait de proposition. Marc Dias (entrepreneur local) s’est manifesté avec un ancien joueur qui se dit agent et qui est interdit de gérer après une faillite personnelle. Ca ferait bien, tiens… Soyons sérieux ! »

Si le Qatar arrive à l’ASSE avec Messi, Romeyer cède sa place…

On l’a compris, à moins que les Qatariens ne se décident à investir dans l’ASSE, son président ne cédera le club à personne. En attendant, il poursuit sa politique de rigueur, tout en dénonçant l’argent perdu avec les célèbres lofteurs de Ligue 1 (Bayal Sall, Boubacar Sanogo et Sylvain Monsoreau), comme nous vous en parlions déjà plus tôt (lire: Sanogo, Monsoreau et Sall coûtent 6M€ par an à l’ASSE), ce vendredi.

Roland Romeyer, président du directoire de l’ASSE, dans L’Equipe ce vendredi: « si des chameaux chargés d’or arrivent avec Messi sur le dos à Saint-Etienne plutôt qu’à Paris, là, on cède de suite notre place avec Bernard (Caiazzo). »


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