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Focus sur le contrat de Sébastian Vettel chez Ferrari

21 février 2016 à 16:40 par Marc Limacher

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Sebastian Vettel chez Ferrari. - @Facebook

Sebastian Vettel chez Ferrari. – @Facebook

L’évolution du salaire de Sébastien Vettel chez Ferrari résulte d’une période où la négociation entre les deux parties, a eu pour base le salaire 2014 du quadruple champion du monde et l’introduction d’un perturbateur dans les négociations.

Un premier contrat qui expirait en 2014

Lorsque Vettel a signé en 2011 son nouveau contrat avec Red Bull Racing, ce dernier expirait initialement en 2014. Le contrat imaginé par la marque autrichienne portait deux années fermes (2011 et 2012) et deux années en options (2013 et 2014). Si le pilote terminait dans le top 3 du championnat du monde des pilotes et remportait un minium de deux victoires, son contrat était automatiquement renouvelé au profit de l’équipe avec augmentation systématique. L’option de la saison 2015 a été ajoutée en 2012 par Christian Horner, pour mieux prévenir les éventualités.

Cette prolongation sur la base de 2015 cachait une nouvelle réalité. C’est le pilote qui allait décider de son avenir. Durant l’été 2013, les négociations ont été en à l’avantage de Sébastien Vettel qui a doublé son salaire. Cette opportunité obtenue de Red Bull avait une contre-partie sous la forme d’une extension de l’option jusqu’en 2017. Son salaire évoluant de quatre millions chaque année, sur une base de 22 millions d’euros, pour 2014. Soit, à terme 34 millions d’euros, en 2017. Ce contrat a servi de base pour la suite.

Quand Vettel souhaite partir, les appétits s’aiguisent

En Septembre 2014, Sébastien Vettel a formulé le souhait de partir. La Scuderia Ferrari l’avait approché durant le printemps, mais plutôt dans la perspective de 2016. Durant le mois de Juillet, Ron Dennis, au nom de McLaren, s’est lancé à l’offensive pour obtenir le concours d’un des trois grands champions du monde de sa liste : Lewis Hamilton, Fernando Alonso et Sébastian Vettel. Woking proposait 45 millions d’euros de salaire à l’allemand et un contrat de trois saisons. Plus justement, le contrat se chiffrait 32 millions d’euros de salaire et 13 millions de primes de titre de champion du monde. Face à ce constat, Red Bull explosait quand Vettel demanda son avis à son employeur autrichien. Ayant compris que la surenchère allait débuter, les clauses entre Red Bull et Vettel volèrent en éclat devant le constat. Le pilote allemand allait partir. L’histoire entre les deux parties se termina après la course de Singapour.

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