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Transfert foot, FC Barcelone: Fabregas, pourquoi ça traîne ?

7 juillet 2011 à 20:23 par Palissarde

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Le Camp Nou du FC Barcelone

Le Camp Nou du FC Barcelone

5M€… le chiffre peut, certes, paraître conséquent. Mais dans un transfert qui devrait atteindre près de 40M€, est-ce vraiment un obstacle ? 5M€, c’est pourtant bien la somme qui sépare toujours cette semaine le FC Barcelone et Arsenal d’un accord sur le dossier Cesc Fabregas. En tout cas selon Sport.es, le média pro-barcelonais. Primes comprises, le Barça serait prêt à investir 35M€ dans le recrutement du champion du monde espagnol, soit près de 75% de son budget mercato, annoncé par les dirigeants à 50M€ (ventes éventuelles de joueurs non compris). Du côté des Gunners, on n’en démord pas. Le club d’Arsène Wenger exige 40M€ pour conclure le deal. Un petit écart entre l’offre et la demande et pourtant l’histoire est partie pour durer. Voici pourquoi…

Du côté d’Arsenal, plus le temps passe, plus on s’approche de la fin du Mercato 2011, qui n’est, certes, pas prévue pour tout de suite (31 août). L’an passé, les Gunners avaient réussi à empêcher le transfert. Alors finalement, pourquoi ne referaient-ils pas le même coup cette saison ?

Le FC Barcelone n’est pas pressé pour recruter Fabregas…

Du côté du FC Barcelone, on n’est pas pressé, non plus, à conclure l’accord. « L’expérience de ces dernières années et de la saison dernière nous montre que nous avons jusqu’à la dernière minute avant le début de saison » estime le vice-président du club catalan, Josep Bartomeu. Nous avons fait des signatures très tard la saison dernière. Nous avons la meilleure équipe du monde donc on peut se permettre d’être patient. Rien ne presse. Nous avons jusqu’au dernier moment »

Fabregas mettrait la pression sur Arsenal…

Pendant ce temps, Fabregas, lui, refuserait de s’entraîner et se limiterait à des exercices dans le gymnase pendant que ses coéquipiers préparent, ensemble, la saison. De quoi plomber la motivation du collectif… Un forcing qui semble amuser Dani Alves, le (futur ?) coéquipier de Fabregas au Barça. Le Brésilien sait de quoi il parle, il a employé la même technique en 2008, pour quitter le FC Séville. « Moi aussi, j’ai forcé mon transfert. J’ai vu le train passer et j’ai voulu être en classe business. »

Bref, le FC Barcelone joue le pourrissement de la situation chez les Gunners. Arsenal, de son côté, espère que son joueur va se résigner à s’entraîner de nouveau. Au bout du compte, l’histoire est encore loin d’être terminée…

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