Le patron de Chelsea a le 2e yacht le plus cher du monde. Celui de City, le 5e
20 août 2021 à 19:20 par Thomas
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Bataille de riches et puissants, orchestrée sur les mers. C’est inutile, mais pour ces hommes qui se veulent au moins aussi important que le nombre de chiffres sur leur compte en banque, c’est un match qui force les égos et le respect chez d’autres. Car voici, les yachts les plus chers du monde, selon un palmarès dressé par Forbes, dans lequel se glisse les bateaux de deux propriétaires de clubs de foot anglais.
Le boss de Manchester City a un yacht baptisé Topaze
Cinquième, le yacht « Topaze ». Il appartient à Mansour bin Zayed Al Nahyan, le vice-premier ministre des Émirats arabes unis, membre de la famille royale et par ailleurs à la tête de Manchester City. il mesure 147 mètres et vaut 460 millions d’euros. Il y a huit ponts relayés par un ascenseur, 26 suites, deux héliports, une salle de sport, et d’autres de conférence ou de cinéma, ainsi que deux bains à remous sur le pont arrière.
Eclipse d’Abramovich, longtemps le yacht le plus cher du monde
Topaze peut embarquer dans son « garage », des jets ski, bateaux pneumatiques, un catamaran ou des minis sous-marins. C’est le cinquième mégayacht le plus cher dans le monde, toutefois à bonne distance de celui qui fut longtemps le premier : « Eclipse » appartenant à l’homme d’affaire russe, Roman Abramovich, à la tête des Blues de Chelsea. Eclipse n’est pas son seul yacht dingue, souvenez-vous le sujet que nous y avions consacré. Mais à 800 millions d’euros son coût estimé, pour ses 170 mètres de long, il est resté, de sa mise à l’eau en 2009, jusqu’en 2018 (et le yacht à coque tout en or, voir diaporama ci-dessus), le plus cher dans tout le monde.
Tout est dingue sur le megayacht du patron de Chelsea
Décrire Eclipse serait bien trop long mais on peut dire pour en caractériser la démesure, qu’il a deux héliports, une suite pour le propriétaire des Blues, avec son toit amovible et pour assurer sa tranquillité, un bouclier anti-missile (on est jamais trop prudent) et un système anti-paparazzi.
Comment dire… tant mieux pour eux. Ce qui est certain, c’est qu’ils n’ont pas acheté directement leurs joujoux avec le monta d’un de mes billets d’entrée aux stades. Je n’aime pas le foot.